A bientôt!
samedi 27 novembre 2010
-. Ditez aux gens que vous aimez...
A bientôt!
dimanche 21 novembre 2010
5. Tango détente...
Pour rigoler un peu...
J'adore le tango argentin mais c'est vrai que parfois l'athmosphère est trop... grave !
Voilà une satyre des milongas, ils sont vraiment très doués tous les deux..à remarquer qu'il y à tout ce qu'il ne faut pas faire en dansant le tango!

samedi 13 novembre 2010
4. Atteinte aux libertés, ça continue : La mort de la phytotherapie
Et ce ne sera pas un poisson d'Avril ! "

" Ainsi, les aliments et les médecines traditionnelles seront considérées comme des questions commerciales plutôt que comme une question de droits de l'homme "
Il y aurait des tonnes de témoignages, dont le mien ou plutôt les miens :
Effets secondaires très nocifs pour la santé de certains médicaments allopathiques : Entre autre, un jour, j'en ai refusé un, le médecin rechignait, puis comme je lui ai dit que je ne le prendrais plus, me l'à suprimé, et ce médicament à été retiré du marché par la suite!!!!
Pour des maladies infectieuses à répétition que j'avais, un jour j'en ai eu marre, sur les conseils d'un naturopathe, j'ai arrêté les antibiotiques que je prenais à répetition, pour me soigner par une plante : J'ai guéri et cette infection n'est plus jamais revenue!!! Mon système immunitaire à été renforcé par cette plante, contrairement aux anti-biotiques et terminé!
Je suis entrain de me désintoxiquer, de ma propre décision, d'un médicament allopathique que je prends depuis des années, trop facilement prescrit (vous pensez...! ) c'est long, mais j'y arrive!
Et ce n'est pas finit : Même pour des maladies importantes, combien de médicaments allopathiques sont inutiles! Dont on peut très bien se passer!! Vous n'imaginez pas!

Pour la phytothérapie :
http://libertesconquises.blogspot.com/
dimanche 7 novembre 2010
3. Morts à cette vie, vivants dans l'au-delà : Fin
Sa mère lui lit un article dans un journal local où il est question de contacts avec les morts.
Aussitôt lu, aussitôt fait, elles décident toutes deux de tenter l'expèrience. Le résultat est immédiat, c'est le père de Monique qui intervient de l'au-delà et c'est le début d'une grande aventure.
Une longue amitié va s'installer entre eux.
Cela ne les empêchait absolument pas d'être un couple très uni, mais au point que Monique Simonet ne bougeait pas beaucoup de chez elle. Elle manquait... je trouve, à beaucoup de réunions sur la TCI, son mari n'aimant pas rester seul trop souvent.
Par contre, si'l ne croyait pas en tout cela, il ne l'à jamais empêchée de faire de la TCI. Cela n'à jamais été un vrai sujet de discorde entre eux.
Depuis, Monique Simonet est veuve et est entrée en contact avec son mari qui lui dit croire en Dieu.
Monique Simonet non plus, comme tant d'autres, n'à pas été élevée dans la religion, mais depuis toute petite, à toujours cru à un au-delà et en Dieu.
Cela me fait penser à ma grand-mère. Son père était même anti-clérical assez virulent dans ses propos parait-il. Ma grand-mère à eut la "révélation de Dieu" me racontait-elle, et à été assez soulagée d'épouser un croyant " car je priais en cachette".
De plus, elle à désarmé bon nombre de "voyantes" car elle était très medium...ceci était une apartée.

Je ne sais si Monique Simonet pratique toujours aussi intensivement la TCI, mais sa générosité sera certainement récompensée de l'autre côté, la foule de messages qu'elle à obtenu pour aider les autres étant déjà une récompense pour elle!
Je n'ai jamais rencontré Monique Simonet, mais je l'ai souvent eu au téléphone et par écrits à une pèriode de ma vie, et je peux parler d'une personne extrèmement dynamique, aimant le contact, passionnée par les phénomènes dits paranormaux, à l'affût des découvertes et surtout très vive, volubile, aimant les échanges, enthousiaste.

http://www.besoindesavoir.com/article/article/id/370387
et http://www.outre-vie.com/interview/msimonet.htm

Ses livres :
- A l’écoute de l’invisible
- Porte ouverte sur l’éternité
- Réalité de l’au-delà et transcommunication
- Messagère de l’au-delà
- Images et messages de l’au-delà
- Et l’ange leva le voile
Image et messages de l'Au-delà (ci-dessus): « Ce livre est très important. Il apporte au grand public les premières images de l'Au-delà reçues en France. Des images de défunts, de trépassés qui apparaissent sur un écran de télévision !... Une grand-mère, Madame Simonet, reçoit sur son magnétophone la voix de son petit-fils Axel, décédé quelques mois auparavant. Elle reçoit même son image sur son téléviseur. À des centaines de kilomètres de là, la fille de Madame Simonet reçoit souvent, par télépathie, la voix de ce même Axel, son fils. Les messages se complètent, se confirment... Le lecteur sceptique lui-même ne s'y trompera pas : la femme qui écrit ce livre avec tant de coeur, tant de chaleur et de limpidité, ne peut mentir... Je vous l'assure, engagez-vous dans cette lecture. Au fil des pages, vous recevrez quelques enseignements fulgurants, de très haute valeur spirituelle, de ces choses qui ne s'inventent pas. Insensiblement, le contact avec l'Au-delà s'établira déjà en vous-même et vous rendra peu à peu capable d'en percevoir les signes plus nombreux que vous ne le croyez, dans votre propre vie. » Extrait de la préface du Père François Brune
Je ne peux terminer ce petit tour d'horizon de la TCI sans parler de deux autres personnes, même si je ne peux citer tout le monde.

Hildegard Schäfer dcd en 1997 , pionnière en Allemagne en TCI, que j'ai eu l'occasion de croiser à Paris. Je n'oublierais jamais son regard d'une intense bonté, cela m'a marquée..
Parmi ses livres, un que j'ai et qui est traduit en français : " Théorie et pratique de la transcommunication (Un pont entre notre monde et l’au-delà) "

Sarah Wilson Estep 1925 - 2008, pionnière en Angleterre en TCI.
Parmi ses livres, un que j'ai et qui est traduit en français : " La communication avec les morts "
L'équipe du Luxembourg, Jules and Maggie Harsch-Fischbach : Appels téléphoniques, images vidéo avec le son, messages de Constantine Raudive, du Technicien ( Pont Burton), est sans conteste le groupe actuel étant le plus spectaculairement en contact avec l’au-delà. Ils ont débuté en 1984. Les expériences qu'ils effectuent dépassent l'imagination.
Communiquent avec le Groupe life streamer (courant vital et Fleuve du temps) où intervient le "technicien", une entité disant ne jamais avoir été incarnée, un "passeur", un guide, qui souvent récite l'Epître aux Corinthien de Saint Paul...
Il à une voix très reconnaissable, aigüe, un peu stridente mais l'entendre est toujours un évenement, une joie!
La TCI est très répandue aussi en Italie (à Grossetto notament) et il y aurait encore beaucoup à dire, mais j'ai mentionné les étapes principales.
Ce billet est la suite de : http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2010/11/2-morts-cette-vie-vivants-dans-lau-dela.html
Voir aussi : http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2008/05/3-le-paranormal.html
http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2011/09/1-limportant-cest-daimer.html
mercredi 3 novembre 2010
2. Morts à cette vie, vivants dans l'au-delà : Suite

ainsi que d’avoir offert une audience mondiale au phénomène. .
En 1915, on entend parler pour la première fois d’une possibilité de capter la voix de personnes mortes au moyen d’ondes électromagnétiques. Le journal anglais Light publia un reportage à ce sujet. On ignore si les essais sont entrepris dès cette époque, mais, compte tenu des limites techniques à l’époque, on pense que c’est relativement improbable.
Pour tous ceux qui, jusqu’à présent, n’ont guère — voire jamais — entendu parler de l’existence d’un certain Friedrich Jürgenson, je vais rappeler quelques éléments de sa biographie dans l’ordre chronologique :


Il travaille alors pendant plusieurs années dans l’anonymat le plus total avant d’acquérir une certitude sur l’origine des voix. Les messages lui parvenaient de plus en plus nombreux :
Entre 1967 et 1969, Jürgenson dirige une opération de fouille sur le site de Pompéi : il en fait un documentaire.
Divers autres films pour la télévision, lui permettent de s’imposer comme réalisateur de cinéma. Ces oeuvres sont au nombre de huit, dont Verfall von Pompéi (« La ruine de Pompeï »), Vogelmord in Italien (« Massacre d’oiseaux en Italie »), Das Blutwunder des heiligen Januarius (« Le miracle du sang de saint janvier »). Ce dernier fut primé à Cannes en 1970.

Le pape qui en général refusait fermement de se laisser filmer autorise Jürgenson à tourner un documentaire sur sa personne. Après la première de Alle wollen den Papst sehen (« Tout le monde peut voir le pape »), Paul VI le nomme commandeur de l’ordre de Saint-Grégoire-le-Grand.En 1967, parait le livre de Jürgenson Spechfunk mit Verstobenen (« Radiotéléphonie avec les morts ») qui enseigne à des millions d’êtres humains la manière de pratiquer les enregistrements de voix. L’ouvrage est toujours proposé en vente en librairie (Goldmann-Verlag, Munich).
A partir de 1970, Jürgenson ne se consacre plus qu’à l’étude des enregistrements de voix : il fait des conférences en Amérique, en Suède, en Angleterre, en Italie, en Allemagne et en Suisse. Il s'entoura de collaborateurs, et rencontra ainsi Monsieur Constantin Raudive.
En 1975, il abandonne sa propriété de Nysund et s’installe à Höör au sud de la Suède où il reçoit des journalistes de presse écrite et de radiotélévision, ainsi que des scientifiques du monde entier.
De 1980 environ jusqu’en 1986, Jürgenson travaille sur un film retraçant sa vie, son action et surtout ses recherches; il en fait une sorte de testament. Ce film à été présenté pour la première fois au public lors d’un congrès de l’OARCA de mai 1987 à Munich.
Comme il l'avait promit, le jour de son décès, il se montre en image sur un écran de télé et parle(je ne me rappelle plus de la teneur du message) , voici la photo de Jurgenson dans l'au-delà, et c'est authentique :


C’est à cette époque qu’il fait la connaissance de sa future compagne, sa compatriote Zenta Maurina qui devait connaître la renommée comme écrivain essayiste. Le reste de sa vie est essentiellement consacrée à cette femme que la poliomyélite avait condamnée à la chaise roulante à l’âge de cinq ans.

Alors qu’il venait de se réfugier en Allemagne, Raudive ne parlait pas un mot d’allemand. Mais son don des langues lui permet de combler ce retard en un temps record. Outre le letton et le russe que l’on pratiquait chez ses parents, Constantin Raudive connaît l’espagnol, le français, et apprend le suédois et l’allemand. De même que Jürgenson, c’est un polyglotte, c’est-à-dire qu’il possède la maîtrise de plusieurs langues, une qualité qui lui fut par la suite d’une extrême utilité pour ses enregistrements de voix paranormales. Comme il l’explique dans ses livres, les voix s’assemblaient volontiers en conglomérats d’idiomes variés, souvent au sein d’une même phrase.
En 1946, Raudive déménage pour l’Allemagne. Il s’établit dans une petite maison entourée d’un jardin à Badkrozingen où il réside avec Zenta Maurina jusqu’à sa mort en 1974.

C’est tout à fait par hasard que Constantin Raudive enregistra ses premières voix :
Vers la fin de l’été 1964, il fut obligé de sortir de chez lui à l’improviste... Quand il fut de retour, il s’aperçut qu’il avait laissé son magnétophone en marche. Il voulu écouter le début de la bande... Soudain, il eut la stupéfaction d’entendre :
-« Kosti! Kosti!... » C’était la voix de sa mère qui l’appelait en lui donnant, comme la mère de Jürgenson l’avait fait pour son fils, le diminutif affectueux de jadis.
Ayant entendu parler des expériences de Jürgenson dès 1965, il l’invita aussitôt à Upsal, où ils purent confronter leurs résultats.

Comme Friedrich Jurgenson, jusqu'à sa mort, il se dévoua totalement à l'au-delà, et ne cessa plus d'enregistrer. Il capta environ 70.000 voix. Il multiplie les conférences, reçoit des scientifiques du monde entier dans sa maison, accorde des interviews aux journaux, à la radio et à la télévision.
Il écrit de surcroît deux livres importants sur le phénomène qui l’intéresse. Le premier, Unhörbares wird höbar (« L’inaudible devient audible »), est édité en allemand en 1968 — accompagné d’un disque présentant des exemples d’enregistrements de voix —, en anglais en 1971 sous le titre Breackthrough et en italien en 1973 sous le titre Voci dall’Aldida. Son deuxième livre sur les enregistrements de voix, Überleben wir des Tod ? (« Survivrons-nous à la mort ? »), arrive sur le marché en 1973. Son troisième livre, Der Fall Wellesittich (« Le cas Wellesittich »), est un ouvrage posthume.
La santé de Constantin Raudive a souffert de son engagement ininterrompu en faveur de la trans-communication pendant des années; le chercheur a quitté notre terre à l’âge de soixante-cinq ans, le 2 septembre 1974.
Outre ses livres, il nous a laissé un grand nombre de bandes enregistrées et de comptes rendus. Une partie de ces documents est archivée en Angleterre, une autre conservée avec ses bandes au lycée letton de Münster en Westphalie dans la salle commémorative consacrée à Raudive et Maurina, où les visiteurs peuvent les consulter ou les écouter selon les cas.
En fouillant sur internet, j'ai trouvé ce lien Myspace ! On y entend Constatin Raudive et une conversation (transcommunication instrumentale) entre l'experimentateur et Constantin Raudive, de l'au-delà. Les phrases de Raudive sont longues. C'est impressionant. Cliquez, ça se déclenche tout seul :

ET : http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2011/09/1-limportant-cest-daimer.html
(sur Constantin Raudive, dialogues de l'au-delà)

lundi 1 novembre 2010
1. Morts à cette vie, vivants dans l'au-delà : La Toussaint
Les cimetières, le jour de la Toussaint, sont gais, fleuris, colorés, mais les tombes sont vides.
Certes, elles renferment la dépouille de nos êtres aimés qui nous ont quitté ou plutôt qui sont parti de ce monde terrestre, mais qui ne sont pas très loin de nous.
Car ils sont bien vivants, ils en témoignent eux-même par divers moyens, et ne sont pas dans ces tombes.
Ce billet sera court car j'y reviendrais, sur la survie après la mort, sur la resurection.
Je dois mes plus grandes consolations lors de deuils, à la transcommunication instrumentale.
J'ai enregistré les voix de personnes chères parties d'ici-bas.
Soit des messages murmurés, souflés, soit des voix nettes, c'est incroyable!
A tel point qu'ensuite ( mais ça c'est classique) que lors d'autres deuils, je n'avais plus besoin de faire des enregistrements, d'ouvrir un micro, car je savais que la personne décédée était vivante, en vue de mes expèriences précédentes.
Je remercie Dieu de m'avoir permi d'avoir ces contacts là...
J'ai d'ailleurs commençé la transcommunication par rapport au deuil (celui de ma mère morte à ma naissance dont je n'acceptais pas le decès), j'expliquerais plus tard comment j'ai connu l'existence de la transcommunication instrumentale, lors d'une conversation entre deux personnes, à batons rompus.
Puis ensuite, quelqu'un, interressé par mes messages, m'a tendu un livre " Les morts nous parlent " du Père François Brune, dont j'ignorais totalement l'existence, et m'a donné ses coordonnés.
Je fais partie de tous ceux qui ne sont pas dans l'Esperance de la Resurrection, mais qui savent que le Resurrection c'est maintenant, là, et que nos morts ne sont pas morts.
Même si la séparation est source de douleur, tout de même, je sais que nos défunts ne sont pas anéantis, que leur vie continue et qu'ils sont bien plus près de nous qu'on ne l'imagine...
Que la Fête de la Toussaint veut bien dire ce qu'elle veut dire : Communion des Saints, vivants ou "morts", pourquoi ce terme d'Esperance, n'est-ce pas une certitude ? Il y à là une contradiction de la part de l'église (mais ce n'est jamais qu'une de plus), car qu'est-ce que c'est " la resurrection à la fin des temps" ? De quel temps s'agit-il ?
La Resurrection, c'est maintenant ou c'est dans des millons d'années ?
Peut-on être en communion avec des entités qui ne seraient pas ressuscitées ?
Pour parler un peu de ces contacts, que je déveloperais plus tard, je vais présenter un peu quelques membres de l'église, parce-que la transcommunication instrumentale est souvent arrivée par eux :
Le Père François Brune
Les interventions du grand théologien qu'est le Père François Brune sont captivantes et nous éclairent sur la symbolique des Ecritures.
Car sa connaissance de l'au-delà redonne Vie, à travers son regard de prêtre, aux discours trop ressassés sans véritable prise concrète sur une réalité : Celle de l'au-delà et de la Resurrection.
Le Père Brune, comme tout véritable pionnier, à été en but à des critiques souvent acerbes de la part de certains, parfois gratuites mais surtout stupides et méchantes (j'en ai été le témoin et l'objet aussi, comme pour d'autres qui adhèrent à sa pensée) On m'à servit du diable et de l'Ancien testament, des phrases contraire au message d'amour du Christ,mais parfois des piques ou reflexions digne de l'esprit de l'Inquisition, et ceci très récement encore. Mais c'est la seule réponse, médiocre en l'occurence, que ses détracteurs ont pu avoir à son égard. Autant dire que cela ne va pas très loin dans la reflexion.
Parce-qu'il qu'il dérange par sa lucidité sur certaines réalités.
J'ai envie de dire ce soir que si tous les prêtres étaient comme lui l'Eglise se porterait mieux, car à ce que je sache,
Je m'adresse surtout là, plus qu'à des prêtres aujourd'hui, à certains catholiques "avertis", qui se veulent plus royalistes que le Roi ( ce sont les pires) pétris d'orgueil et de suffisance, derrière leur grand discours sur l'humilité, et dont le coeur est vidé d'amour et de tolérance pour leur prochain ( ils sont nombreux) malgrès le message d'amour du Christ et qui sont SURTOUT aussi la cause de la fuite de beaucoup de fidèles hors des églises... A méditer.
Bon : Je pense surtout qu'ils sont un peu dingues...
Je conclue en disant très sèrieusement que j'ai souvent pensé qu'il fallait avoir une foi béton...pour continuer à fréquenter une église...
Mais au fait, qui est le Père Brune ?

Après un baccalauréat latin-grec suivi de 4 années d’hypokhâgne et khâgne et de certificats en Sorbonne (latin et grec), François Brune entreprend des études de philosophie et de théologie (5 ans à l’Institut catholique de Paris et 1 an à l’Université de Tübingen). Il obtient la licence de théologie de l’Institut catholique en 1960 et suit 2 années à l’Institut biblique de Rome, conclues par la licence d’Écriture Sainte en 1964.
Entré dans la compagnie des prêtres de Saint-Sulpice, en 1960, il enseigne dans divers grands séminaires, à Nantes, Rodez et Bayeux. Depuis 1970, il se consacre à l’écriture de ses ouvrages, ainsi qu'à l'animation de conférences dans divers pays, effectuant de nombreux voyages à la rencontre d’autres chercheurs. (Wikipedia)
Le Père Jean Martin de Belgique :
" Né en 1936, il est ordonné prêtre en 1961. Docteur en philosophie de l'université de Louvain, prêtre de paroisse puis professeur de séminaire, il est actuellement chargé d'animation religieuse dans les écoles d'enseignement spécialisé de son diocèse.
Il s'occupe aussi d'accompagnement auprès des personnes dans le deuil. Il est l'auteur de 'A l'écoute du monde animal', 'Des signes par milliers', et 'Horizon de lumière' et d'autres livres encore.."Nul n'est une île " " Le prêtre, la medium et le chien ".
Le Père Jean Martin pratique la transcommunication instrumentale. " Il a enregistré assez souvent des plaintes et des demandes de secours. Il a notamment capté la voix d’une enfant du village où il habite et qui venait de décéder. Il put contacter une jeune institutrice de 27 ans décédée dans un accident de voiture. Jean Martin a reçu plus de 2000 messages venus d’entités qu’il n’identifie pas toujours." .
" L’Au-delà nous fait signe, nous dit Jean Martin, et ces signes, qui sont comme des brèches par où passe la lumière, sont plus fréquents qu’on ne le pense : « des signes par milliers »... Ces brèches s’avèrent être d’abord et avant tout les tentatives de transcommunication instrumentale ; ensuite les expériences aux frontières de la mort. Retraçant ses propres tentatives de communication avec l’Au-delà, le père Jean Martin affirme haut et fort que la mort n’est qu’un passage : il en a eu la preuve matérielle. Voici donc, pour la première fois, le témoignage unique d’un prêtre catholique qui a le courage de dire l’aide affective et surtout spirituelle qu’il a retirée de ses contacts avec les « morts ». Ce livre est un plaidoyer pour dépasser le deuil. Il s’adresse à tous, croyants ou non croyants. Peu à peu, le mur qui nous sépare de l’autre monde se fendille et l’initiative vient de l’Au-delà ".
"L'initiative vient de l'au-delà", retenez bien cette phrase, on va voir plus tard...
Je conseille au moins deux livres que j'adore et le deuxième est bouleversant :
Remontons dans les années 50:
Parmi les premiers
transcommunicateurs, dans les années 50 figurent deux prêtres catholiques,
les pères Ernetti et Gemelli.
" Ils effectuaient une recherche musicale.
Le 15 septembre 1952, alors que les deux pères sont occupés à enregistrer un chant grégorien, un fil de leur magnétophone casse constamment… Exaspéré, Gemelli lève les yeux au ciel et demande l'aide de son père défunt. La réponse de celui-ci est enregistrée sur le magnétophone : « Bien sûr, je vais t'aider, je suis toujours avec toi. » Les deux ecclésiastiques répétèrent l'expérience avec le même succès.
A-t-on le droit de parler avec les morts ?
Gemelli, tout d'abord plein de joie devant l'apparente survie de son père, se sent assailli par une certaine crainte : a-t-on le droit de parler avec les morts ?
Pour en avoir l'âme et le cœur nets, les deux hommes se rendent à Rome, chez Pie XII, à qui, profondément troublé, le père Gemelli raconte son expérience ".
Réponse du pape Pie XII :
« Cher père Gemelli, vous n'avez vraiment pas à vous tracasser à ce sujet. L'existence de cette voix est strictement un fait d'ordre scientifique et n'a rien à voir avec le spiritisme… L'enregistreur est absolument objectif : il reçoit et enregistre les ondes sonores d'où qu'elles viennent. Cette expérience pourrait constituer la pierre angulaire de l'édification d'études scientifiques appelées à fortifier la foi des gens dans un au-delà. »
Le père Gino Concetti, lui, est commentateur à l'Osservatore romano :
" Il a expliqué, dès décembre 1966, que pour l'Eglise catholique, les contacts avec l'au-delà sont possibles. Celui qui dialogue avec le monde des défunts ne commet pas le péché s'il le fait sous l'inspiration de la foi…
Ce frère franciscain mineur est l'un des théologiens les plus compétents du Vatican.
Sa position illustre une tendance nouvelle de l'Eglise devant le paranormal ".
" Si le père Léo Schmid occupe une place aussi importante dans l’histoire de la recherche sur les enregistrements de voix, c’est parce-qu’il y à toujours eu — et il y à toujours certainement encore de nos jours — des hommes pour considérer ce domaine comme une zone interdite, impossible à concilier avec les exigences de la religion.
Jusqu’en 1946, il enseigne à l’école saint Joseph d’Altdorf; il devient ensuite vicaire de Grenchen pendant trois ans, puis de Neuenhof et enfin d’Arlesheim jusqu’en 1952. Il restera curé d’Oeschgen en Aargau de décembre 1952 à la fin sa vie, le 28 février 1976.
Pendant de longues années, le père Schmid a entretenu des relations étroites avec tout ce que le domaine de la recherche sur les enregistrements de voix compte de sommités. Il ne s’est pratiquement pas passé de jour sans qu’il prit place devant ses appareils, si bien qu’au fil des ans, il est parvenu à archiver quelque douze mille voix.

En février 1972, dans la salle d’honneur de l’université de Berne, Léo Schmid a reçu le prix de l’Association suisse de parapsychologie pour l’étendue et la qualité de ses recherches, pour ses enregistrements de voix et sa courageuse promotion du phénomène auprès du grand public.
Le père Schmid, qui s’était d’abord fait connaître sous le pseudonyme de Gérold Schmid comme auteur de nombreux ouvrages pour la jeunesse, s’est ensuite lancé dans le récit de ses expériences et de ses découvertes effectuées tout au long de ces années de recherches, Wenn die Toten reden (« Quand les morts nous parlent ») à été publié peu après sa mort à titre posthume. Le livre est malheureusement épuisé de nos jours.
Le père Schmid est mort alors qu’il n’était âgé que de soixante ans, le 28 février 1976. Il n’a disposé que de sept années pour travailler sur les enregistrements de voix, mais son zèle et l’audace de son engagement auprès du public ont contribué de manière décisive au développement du phénomène ".
Je reparlerais plus tard d'autres grands pionniers de la TCI (abréviation) dont l'un d'entre eux fut aussi, d'une autre manière très lié au Vatican, et de Monique Simonet en France. Mais il y en à tant d'autres...
Liens précedents : http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2008/11/1-le-coeur-dune-mre-le-paranormal-3.html
http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2009/09/5-le-paranormal-4-signe-de-vie.html
http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2009/11/1-toussaint-quelques-poemes-et-messages.html
D'autres billet ont trait à l'au-delà sur ce blog....
LIRE SUITE : http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2010/11/2-morts-cette-vie-vivants-dans-lau-dela.html
En cette veille du 2 novembre, Fête des morts,
je voulais m'associer en union de pensée et de prière aux victimes de l'attentat de l'Eglise Syriaque chretienne de Bagdad.