mardi 8 septembre 2009

1. Message d'Isabelle Lionnet du 3 septembre

bonjour .. mamounette ! cette rencontre était très belle .. et de plus en plus de jeunes "y" parviendront ! il faut toujours "tendre vers le haut" malgré les soucis ... les épreuves ! ces mauvais passages sont des éléments d’avancement .. les souffrances lancinantes éprouvent ... sapent .. mais ne vous laissez pas abattre et continuez ... avec notre aide ... sur le dur chemin qui vous conduira vers la "sortie de secours"et vous échapperez à votre prison inquiète ... à vos ténèbres .. car (bis repetita !)"vous puisez toujours la force positive de l’action dans l’élan de l’espoir .. dans la volonté farouche de l’issue et du mieux" ... et cette issue de secours .. vous l’avez en vous ... et la confiance expulsera tout ce négatif ... et la paix lumineuse fera briller les ombres .... le temps venu ! et .. soyez vrais .... car la vérité est le cadeau d’un coeur pur et beau à l’attente torturante de ceux qui espèrent une réponse !! nettoyez votre coeur de ces brouillards malsains et ouvrez-le aux élans de franchise pure et nette ! en sacrifiant la fierté orgueuilleuse qui pousse à dissimuler ... à tromper ... vous ouvrez votre âme à la pure et éternelle lumière ! que cela soit !haut les coeurs ! le 3 septembre 2009



car "l’épreuve est maître de souffrance .... sans doute ... mais elle est maître d’espoir ... maître de vie .. elle est le creuset où se forge votre élévation !"

Ci-dessus : Vierge au bouquet, Notre Dame de la Garde, Marseille, d'où je reviens aujourd'hui même (Fête de la Nativité de la Sainte Vierge).



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" La bonne mère " Notre Dame de la Garde, Marseille.

7 commentaires:

Anonyme a dit…

Quel beau message d’Isabelle si joliment illustré ! C’est un trait de lumière. La vérité c’est bien cela, être sincère avec soi, ne pas se camoufler derrière des apparences (fierté orgueilleuse) désir de domination, qui ne sont que des effets de la peur. Magnifique !
Brocéliande

Fleur de corail Jeannine Toiron-Vaquié a dit…

Merci de tes commentaires Brocéliande.

Anonyme a dit…

Encore un beau message d'Isabelle à méditer. Profond.
Marseille à de très beaux coins, belles photos!
Vagabundo

Fleur de corail Jeannine Toiron-Vaquié a dit…

Hello Vagabundo!

Anonyme a dit…

Ce message d’Isabelle est fort, j’en retiens ce passage :

"tendre vers le haut" malgré les soucis ... les épreuves !
ces mauvais passages sont des éléments d’avancement ..
les souffrances lancinantes éprouvent ... sapent ..
mais ne vous laissez pas abattre et continuez ... avec notre aide ...
sur le dur chemin qui vous conduira vers la "sortie de secours"
et vous échapperez à votre prison inquiète ..."

-o-o-o-

Il me fait réagir pour exposer un idéogramme chinois du Yi Jing.
Le livre des transformations.
La situation ( la 23èm de 64) évoque une usure voire un effondrement.

Comme un travail de sape s’infiltrant en nous pour nous user de souffrances.
Et s’il y a toutefois à vivre des moments plus difficiles que d’autres et
que l’adversité nous mine, ne serait-ce pas un passage " obligé" pour " remonter" ?

Cette figure chinoise appelée hexagramme indique que quelque chose dans notre vie s’achève.
S’il n’y avait pas de fin, il serait impossible qu’un nouveau commencement apporte une vie nouvelle, car tout se rénove de manière cyclique en se défaisant de ce qui est ancien.

Ce temps d’éclatement doit donc être compris avec détachement comme un lâcher prise nécessaire à effectuer soi-même.
Il nous contraint à des changements en mettant en lumière certains faits
qui nous refroidissent, comme le chagrin, la déception, la mort , la déchéance,
et qui sont rarement perçus comme beau.

Quand nous sommes confrontés à une séparation ou à une détérioration,
nous sommes en situation vulnérable, poussé par des forces extérieures trop importantes
pour que nous puissions les ignorer.

A un certain niveau, face à l’inévitable de la mort
un lâcher prise s’impose.
Arrive donc une nouvelle compréhension comme le souligne Isabelle.

Au lieu de comprendre que les choses s’opposent naturellement,
comme lumière et l’obscurité ou les deux faces d’une même pièce,
nous avons tendance à leur attribuer des valeurs positives et négatives.

Nous considérons donc la tristesse comme une menace vis-à-vis du bonheur,
la mort comme une défaite de la vie.

Notre esprit dualiste nous maintient prisonnier d’un jeu de ping-pong mental
qui nous fait peur et va à l’encontre de la nature des choses
en niant sa dimension globale et continue, son cycle régénérateur de mort
et de renaissance qui rythme le battement de cœur de la vie elle-même.

En de telles circonstances, l’unique option conseillée depuis l’antiquité chinoise,
est de laisser la nature suivre son cours.
De consacrer toute notre énergie à favoriser ce processus.
Etre ferme avec nous-mêmes et d’éviter de s’apitoyer
sur notre sort.

En fait c’est d’accepter de travailler avec cette « usure », notre maturité s’accroît naturellement.

Cette figure chinoise d’ USURE présentée par des dessins, d’écorcher un arbre, voire de l’étêter, traite de ces moments douloureux où il importe de savoir tenir dans la durée malgré ce qui mine de l’intérieur ou de l’extérieur.

Et souvent la solution à de telles situations est de ne pas agir ou prendre de décision.

D’où l’idée que l’usure , s’use d’elle-même et qu’elle va se stabiliser patiemment.
C’est un peu comme lorsqu’il nous arrive une contusion à un membre.
Les bleus se résorbent car la nature reprend ses droits…de circulation.

Merci Fleur de Corail, de déposer de tels textes puisqu’ils nous inspirent agréablement.

Alaxis

Anonyme a dit…

Larmes..


FB

Fleur de corail Jeannine Toiron-Vaquié a dit…

Ma petite FB, ça te rapelle Jean. C'est bien quand les larmes sortent, je suis près de toi!