mercredi 8 février 2012

2. Flamenco et éternité

Je ne fais que parler de cela depuis le début en fait...

Mon blog avait faillit s'appeler passion flamenco, puis j'ai écrit passion gitane. Pas grande différence..
Entre ce que j'ai dit dans mon poème sur Miguel "Alegria por Miguel "

" Au royaume flamenco avais-je enfin trouvé ma place ?
La réponse à l'infini qui toujours me dépasse ? "
(extrait)

Et mes racines " Flamenco! Flamenco! Coeur artificiel auquel je suis branchée "
Cette étrange "rencontre" avec José Reyes...
Tout ce qui se lie et se relie et part vers un infini ou vient de l'infini...Il y à un moment où l'on ne sait plus très bien où cela commence...
C'est toujours un lien d'amour..

Et l'infini, on peut le toucher du doigt avec la TCI.

SI LE PERE BRUNE N'EXISTAIT PAS IL AURAIT FALLU L'INVENTER

Le dernier (espérons que ce ne sera pas le dernier) livre du Père François Brune " Mes entretiens avec les morts " différent de " Les morts nous parlent " (va bientôt paraitre le 17 février). Je vais bientôt le lire puisqu'on me l'offre....
Mais cette fois-ci ce livre sur les contacts est différent, je n'oserais pas dire "autobiographique" mais plus intime.


Mais il est déjà disponible à Parascience, en lien sur le côté.
Pour commander :
http://www.jmgeditions.fr/


Plus simplement :
JMG Editions
8 rue de la mare
80290 Agnières
France

Livre : 21,00 euros + 4,00 euros de frais d'envoi à l'ordre de SARL JMG Editions


« Dans de précédents ouvrages, le Père Brune nous a longuement exposé les étonnants résultats des explorateurs de l’après-vie qu’il a été amené à fréquenter durant sa longue existence.

Il a décidé, dans ce livre inédit, de nous présenter le fruit de ses propres recherches et les contacts qu’il a eus avec ceux qui sont passés de l’autre côté du voile.

Il s’agit de contacts intimistes, comme ceux qui l’ont mis en relation avec son frère défunt ou avec son ami le biologiste Rémy Chauvin, mais aussi des contacts d’une haute portée spirituelle qui l’ont mis en union avec des âmes pures, comme celles de Pierre Monnier et de Roland de Jouvenel.

« Leurs messages, estime le père Brune, sont d’une valeur très supérieure à tous ceux que j’ai pu connaître. Ils comportent des affirmations scientifiques très en avance par rapport à l’époque à laquelle ils ont été reçus. Ils offrent une façon de comprendre l’enseignement religieux qui dépasse sur bien des points les théories contemporaines. »

Ce livre, que François Brune pense être le dernier de ses écrits, est non seulement un témoignage émouvant, mais c’est aussi une œuvre de synthèse. Ce théologien réputé y établit le lien entre sa foi et les recherches de pointe qui, un jour prochain, libéreront l’Homme de la matière et le feront entrer de plain-pied dans l’univers radieux de la spiritualité vivante ".

Ce qui reste c'est l'essence des choses. On peut l'appeler âme, que ce soit pour un être humain, un animal ou un art. Par exemple l'âme du flamenco. Une âme, c'est si profond.
Et on essai tous d'explorer cet infini en soi...


" J'ai un puits en moi
et je ne peux boire son eau
la corde n'est pas assez longue "
(Solea por buleria)
Dans film Agujeta, cantaor


Alors quelques chefs d'oeuvres surgissent pour tenter d 'esquisser cet essentiel, cette âme, cet infini, au risque de déplaire à certains peut-être, à cause d'un certain dépouillement indispensable, mais je trouve que c'est fascinant :



Vu dans : http://ilinferno.com/2012/01/21/la-curva-de-galvan-lessence-du-flamenco/#comment-366

un bel article à lire sur cette superbe prestation d'Israel Galvàn..!

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Coucou! C’est un sujet très intéressant ! J’achèterais certainement le livre du père Brune. Pour le flamenco, cette recherche est originale et le danseur vraiment époustouflant !
Il doit faire très froid à ce qu'il parait à Clermont-Ferrand. Mais tant qu’on a du chauffage ça va. On serait presque privilégiés
Manoune

Fleur de corail Jeannine Toiron-Vaquié a dit…

Je suis enmitouflée comme si j'étais en Sibérie. Et aujourd'hui, j'ai été très mal. J'ai discuté trop longtemps dans le hall de l'immeuble, un peu chauffé pourtant, pas trop couverte, et j'avais froid à l'intèrieur de moi, impossible de me réchauffer. J'ai cru tomber malade. Autrement c'est hard comme froid, il y à encore plein de neige qui ne peut pas fondre tellement c'est gelé. ça casse au début, même si on à l'impression de s'habituer. Dommage, car l'air vif fait du bien, fouette le sang. Mais un froid pareil...Surtout quand il y à du vent, c'est horrible! Contente que ce sujet t'ai plu. Bonne nuit