mardi 29 septembre 2009

7. Une pandémie organisée : Restez vigilants!



gare à la grippe façon Brassens (humour)
envoyé par fitney. - Plus de vidéos fun.

" vidéo à regarder en (HQ)je sais vous allez me dire encore on parle de la grippe mais là on vous la chante en humour on a repris la chanson originale gare au gorille en gare à la grippene vous faites surtout pas vacciner c'est un réel danger !il n'est pas encore au point et la grippe H1N1 n'est pas plus dangereuse qu'une simple grippe " écrit sous la vidéo


Ci-dessous le lien d'une vidéo ! Interview de Jane Burgermeister, journaliste viennoise dans le médical, qui a porté plainte auprès du F.B.I. contre l'ONU, pour génocide programmé. La vidéo est longue, sous-titrée en français, mais vaut le coup d'être visionnée.

Je savais dès le début qu'il y avait une manipulation par rapport à un profit financier, je n'ai, d'emblée, jamais cru à cette pandémie (spontanée..), mais je n'avais pas réalisé (je le sais maintenant depuis quelques temps) jusqu'où cela pouvez aller!

Si la vaccination ne devient pas obligatoire, restez vigilants, car de toutes façons, la France (elle n'est pas la seule)) ne va pas rester avec 94 millions de vaccins (très nocifs) sur les bras... il va bien falloir qu'elle les place autrement : Dans d'autres vaccins ? Dans les pays pauvres ?

Interview de la très courageuse Jane Burgeirmester :

http://www.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fwww.alterinfo.net%2FProject-Camelot-interviews-Jane-Burgermeister_a37025.html&h=d6ccd1575a32518717e83a9236892c17


Lorsque Martin Gray évadé du camp de Treblinka à tenté d'avertir, d'empêcher des groupes de juifs d'aller dans les "camps de travail", ils ne l'ont pas cru,
l'ont prit pour un doux illuminé et même certains se seraient moqué de lui!
Et ils ont été droit dans ces camps de travail, droit à la mort!
Comment croire à l'horreur ?

Fuyez le vaccin H1N1!


Remarquez que depuis plusieurs plaintes déposées, de la part de divers organismes, dont SOS Justice et d'autres, on en parle plus à la télé de cette pandémie... Silence radio...N'est-ce pas... bizarre ? Restez vigilants!


Mais que va faire la France de ses 94 millions de vaccins grippe H1N1 ?

Le tamiflu à déjà fait du mal!


FUYEZ CE VACCIN !


Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit

Ce billet est la suite de :

http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2009/08/1-la-politique-de-la-peur.html

http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2009/09/2-detente.html

Lire la suite : http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2009/10/2-contre-le-mal-fete-des-anges-gardiens_02.html (Rosine Bachelot, tu mens!)

vendredi 25 septembre 2009

6. Sidération



envoyé par meriemfr2000


Extraits du spectacle "Vertige" de Tony Gatlif


Prado, danseuse exceptionnelle :



Envoyé par MariZhEN

Lorsque j’ai visionné en direct de Lyon, Vertige de Tony Gatlif , j’ai été sidérée devant ce spectacle d’une telle beauté artistique ! Au fur et à mesure du spectacle l’émotion montait et à atteint son paroxysme lorsque est arrivée La Caita !
Je ne peux pas exprimer avec des mots ce qui s’est produit en moi ! A tel point que j’ai ensuite téléphoné à une amie gitane pour lui demander ce qu’était vraiment le fameux « duende » mais sans lui parler de la Caita.
C’est étrange les sensations fortes que m’a produit ce spectacle de Tony Gatlif, et même la vidéo que je pose ne peux refléter ce qu’elle à été sur scène ! Son attitude, sa façon d’arriver sur scène (on ne le voit pas là sur la vidéo), de chanter…Quelque chose à résonné en moi, sûrement. Assise sur ma chaise, imperturbable extérieurement, sans émotion apparente, sans tristesse surtout, dès la première minute où elle est arrivée, l’éblouissement était à son comble : Je me suis rendue compte au bout de quelques minutes que des larmes coulaient sur mon visage !
Comment décrire le charisme de la Caita ? Ces « saisissements » sont des sentiments si personnels qu’ils ne peuvent se traduire avec des mots il me semble…

La Caita :



" Tony Gatlif est né d'un père kabyle et d'une mère gitane[réf. nécessaire][1]. Après une enfance à Alger, Gatlif arrive en France en 1960 en plein durant la Guerre d'Algérie. S'en suit un parcours difficile et éclaté, qui ira de la maison de redressement à une rencontre avec l'acteur Michel Simon en 1966, en passant par des cours d'art dramatique. Il joue alors dans des pièces de théâtre puis réalise son premier film en 1975, La Tête en ruine.
À partir de 1981, il aborde le thème qu'il approfondira de film en film : les Roms du monde entier, dont il devient à bien des égards le chantre, séduit par une «communauté en mouvement» et par un «univers sonore et musical» d'une très grande richesse et d'une grande diversité. Cependant, manifestement étranger à l'idée d'un rattachement exclusif à une communauté, Gatlif se définit lui-même comme un « méditerranéen » de plus il se détacha des pays arides pour composer les douces mélodies du sud, c'est un concessionnaire lateram." [2]. Wikipedia

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit

jeudi 24 septembre 2009

5. Le paranormal 4 : Signe de vie.

Lorsque j'ai régidé cet évenement en 1995, j'ai volontairement employé d'autres termes que "fantôme" "apparition" même, pour éviter des expressions "moyenâgeuses " J'ai employé souvent l'expression "matèrialisation" c'est à dire "redescente dans la matière "

La matérialisation de Miguel.

" C'est cet événement là, qui fut le plus important depuis le départ de Miguel, qui déclencha en moi le désir d’écrire, de partager, de remercier.

Ce 31 juillet 1993, j'étais sur la route de Perpignan. Miguel était constamment dans mes pensées. Y-a-t-il un moment où je ne pensais pas à lui ? Lorsque peu de temps après, j’écrivis un article dans la revue Parasciences Trans-communication : "(... à un moment où je ne pensais pas vraiment à lui...)", j'étais mécontente, car je m’étais maladroitement exprimée, étant sans cesse reliée à lui. Au volant, fatiguée, je m’arrêtais souvent et je prenais des vitamines. Je n'avais jamais été à Perpignan, et mon stage (de dernier degré guerison par les chakas) ne commençait que dans quatre jours. J'en profitais pour découvrir Cannet Plage.

Le matin je me baignais, et j'avais apporté mon Walkman. Je voulus écouter des chan-sons de Miguel, moi qui n'aurais pas pu auparavant! Nous étions le 2 Aoûts 1993. Allongée sur la plage, au son de sa voix j'oubliais tout ce qui m'entourait, et je m’écroulais. Le choc était trop fort. Oui, je savais qu'il existait une vie après la mort, que Miguel était vivant, quelque part, mais peu importait. Dans le flot de mes larmes qui se déversait, je me disais que je ne le reverrais plus jamais, plus jamais! C'était horrible.
Au bout d'un moment dont j'ignore la durée, je pris conscience que je me donnais en spectacle. Les gens, sur la plage! Epuisée, je relevais la tête : Il n'y avait plus personne. Seul, un homme un peu plus loin, l'air gêné, me considérait. Ses yeux étaient emplis d'une pitié mal dissimulée. Je lus dans son regard : "Encore une que son petit ami à laissée tomber". Il se leva, ramassa sa serviette, et partit. Il ne se trompait pas tout à fait, sans connaître les raisons de cet « abandon ». J’eus honte, et je partis aussi. Pour comble, sous la chaleur écrasante, sans bouteille d'eau, je fus immobilisée dans une file de voiture, car il y avait un accident, qui me faisait penser à un autre.

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit


Arrivée à l’hôtel Les Balladins, j'allais me reposer. Les journées étaient écrasantes de chaleur, et le soir, les foudres du ciel s'abattaient sur la ville, suivies de pluies diluviennes.
Je retournais à Cannet le soir. Je n'y tenais plus : Je voulais rencontrer des gitans, c'était une façon d’être proche de Miguel. Il devait bien en avoir, puisqu'il y en à toujours au bord de la mer. Je me fis klaxonner plus d'une fois en roulant à 10 à l'heure.

Je commençais de désespérer lorsque je décidais d'appliquer la Pensée positive : Repassant pour la troisième fois devant une des nombreuses pizzerias, j'imaginais que Miguel était à côté de moi, et je pensais : "Miguel, maintenant, c'est toi qui diriges." J'entendis aussi-tôt : "Lolaï, Lolaï". Mon cœur bondit. Ils étaient trois avec leurs guitares, le dos tourné. Je pensais: "Une place m'est réservée", et alors qu'il n'y en avait pas, un homme est allé vers sa voiture, et partit. Je pus me garer. Le cœur battant, je me suis dirigée vers la pizzeria. C' était des cousins de Miguel, que je connaissais! Ils jouèrent une chanson pour moi. L'un d'eux me dit le titre d'une de leur chanson : "Je t'aime" en gitan. J’eus l'impression que c'était Miguel qui me le disait.

Le lendemain, j'étais plus calme et j'allais me baigner. Il faisait très beau. En début d’après midi, j'allais m'allonger. La fenêtre était entrouverte, laissant passer le bruit lointain de la circulation. J'avais légèrement tiré les rideaux à cause de la luminosité. Ma tête sur un bras replié, les yeux fermés, je ne dormais pas vraiment, je me remémorais.

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit


Subitement, quelque chose me tira de ma torpeur! Je reçus une légère secousse, comme une décharge magnétique venant de l’extérieur, sur mon plexus. Comme si quelqu'un se hâtait de me réveiller. C'était tellement réel que mes pensées allaient très vite, je m’étonnais simplement :"Tiens, me dis-je, qu'est-ce que c'est qui me réveille si brusquement ? Personne n'a pu entrer dans ma chambre, la porte est fermée à clef, et je n'ai pas entendu frapper ?" M'aidant de mon coude, je me re-dressais, levais la tête et mon regard tomba sur Miguel, qui se tenait debout à peine à cinquante centimètres de moi! Je le reconnus immédiatement à sa chevelure. La tête inclinée vers moi, les bras le long du corps, il me regardait. Je ne voyais pas ses pieds. Fascinée, je distinguais nettement les contours de son corps, contours sombres, qui semblaient faire un effort pour subsister. Je ne voyais pas le milieu de son visage, de son corps, sauf l'épaisseur de ses cheveux. Comme ces instants si brefs sont inoubliables, à jamais gravés en moi, et que le temps n’altère pas!

Ce que je n'osais pas espérer, ce que je n'avais même pas imaginé pour moi, était en train de m'arriver : Une matérialisation de Miguel. Cela dura quelques secondes. Et même sans pouvoir distinguer les traits de son visage, nous nous regardions. Puis, tout s'est « dissout ».

Je ne pourrais jamais vraiment exprimer le bouleversement que produisit, et produit toujours en moi, l'apparition de Miguel. C'est une preuve d'amour inouïe.

Je ressentais immédiatement deux impressions : Debout, dans le silence, Miguel s'était présenté dans une très grande humilité‚ comme dépouillé de tout oripeaux.
Aucun dialogue verbal entre nous, mais une communication, si brève soit-elle, qui dépassait toutes celles que nous avions pu avoir. En quelques secondes, c'était son amour, mais peut-être aussi comme me le dit plus tard mon professeur de yoga, son remerciement, qu'il me transmettait. Mais par-dessus tout, c’était la consolation qu'il m'apportait.
Son visage penché vers moi, et qui certainement me scrutait, cette complicité énorme entre nous, avec la surprise qu'il savait susciter en moi, pouvaient se traduire par : "Vois, je suis là pour te prouver ce que tu sais déjà, que la mort n'existe pas, je sais ta douleur, mais je suis prés de toi, je t'aime". A partir de cet instant, je me suis très souvent sentie entourée de son amour :

"Le signe, irruption de l'invisible dans le visible, atteste une présence, quand on se croit dans l'exil et la solitude. Il soutient quand on se trouve dans la fournaise de l'épreuve. Donné gratuitement, par amour, il nous atteint dans le secret et le silence. Il vient une fois; c'est une comète qui traverse la grisaille de notre ciel quotidien. Si l'on veut qu'il se répète, il se dérobe. Il vient librement, à son heure Il n'est pas possible de le contraindre. C'est une pierre précieuse qui surgit parmi les cailloux du chemin raboteux. Il est nécessaire à notre incrédulité‚ à notre fatigue toujours renaissante.
Comme les pierres précieuses, il est rare; il doit être rare. Etant donné que le signe est personnel, les autres ne peuvent pas comprendre. Ils ne connaissent pas la préoccupation, l'interrogation dont il est la réponse ".
J. Prieur "Les morts ont donné signe de vie" P.26

Je ne me souviens que vaguement de ce que j'ai fait ensuite. Les souvenirs s'estompent de ce qui n'a plus trait à ces instants extraordinaires. Je me vois me lever au bout d'un certain temps, me diriger dans la salle de bain pour me peigner, et je pense avoir ensuite fait une longue marche. Tout est flou. Je suis comme frappée d'une forme d’amnésie.

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit



Miguel était revenu quelques instants pour se montrer à moi! Cet acte d'amour est le plus puissant que j'ai eu dans ma vie. Pourtant, cette visite traduisait en même temps retour et point de non-retour. Mais surtout, un amour énorme, car la redescente dans la matière est pour les âmes un effort relativement désagréable. Notre atmosphère leur parait lourde, sinon gluante, les témoignages en attestent. Ils leur faut ralentir leurs vibrations, et se condenser. Essayez de vous transformer en escargot, d'aller à la lenteur d'un escargot! Ils leur faut énormément d'amour pour se matérialiser.

Lorsque j'en parlais plus tard à quelques personnes, leur réaction fut de dire : "Mais tu n'as pas eu peur ?" pas un seul instant! Comment avoir peur de ceux qui nous aiment assez pour produire le miracle qui console, qui témoigne de leur amour ? Mais je comprends cette réflexion: J’ai eu aussi des angoisses, d'autres peurs dans ma vie.

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit


Etait-il venu en cachette ou avait-il eut la permission ? Avait-il fait l'école buissonnière pour me rencontrer ? Ce qui serait encore plus bouleversant, car cela peut se produire. De toute façon, il avait désiré cette rencontre. Combien je lui en suis reconnaissante, et il n'est pas responsable du dilemme qui s'ensuivit en moi. Car bien sûr, si quelqu'un que l'on aime meurt, puis se matérialise, que souhaite-t-on par la suite ? Que cela se reproduise! Je le souhaitais, n'étant pas sûre que cela se reproduirait, et, lucide sur moi-même, je savais que c'était une arme à double tranchant. Car j'aurais été fort dépendante de cet état de fait. Et pourquoi pas le prendre dans mes bras, et qu'il me prenne dans les siens ? Pourquoi pas non plus l'embrasser ? Et le revoir souvent, tel un amant clandestin ? J'en concluais avec tristesse : Pourquoi dans ce cas, ne reviendrait-il pas vraiment ? Or, depuis Lazare, je n'ai point entendu parler de cela...

Miguel était bel et bien revenu, mais avait aussi à mes yeux de terrestre, déjà une autre dimension, une autre consistance.

Et ceci est ma deuxième impression. Car sa matérialisation indiquait à la fois le rapprochement et la séparation. Déchirée entre une joie sans pareil et une frustration énorme, je naviguais entre deux pôles : Retour et point de non-retour.

Mais je préférais que cela se fut produit, même qu'une seule fois. Seul l'amour était le plus fort. Seul comptait son don, et pouvait tout racheter. Là où subsiste une étincelle d'amour, l’être est sauvé. Le meilleur de lui-même s'était manifesté par-delà la mort. Ni l'enfer, ni le paradis, ne pouvaient nous séparer. Miguel avait définitivement scellé des liens, quel que soit mon avenir.

Je continuais à écrire, et le lendemain, évoquant un problème de taille par rapport au stage, je concluais naturellement : "Miguel, que l'amour que j'ai pour toi me délivre !", et je posais mon stylo. Je fus stupéfaite car l'effet fut immédiat. Il n'y avait plus de problème! Tout s'était envolé comme par magie, en un éclair... Je connus une fois de plus la force de l'amour, la force de l’au-delà dans l'amour.

Je téléphonais au Père Brune pour lui faire part de cet événement extraordinaire. Il me laissa un message : "Eh! oui... Il s'en passe des choses... C'est une chose rare, qui est extraor-dinaire, mais tout de même plus répandue qu'on ne le pense, que ne le disent les gens, une matérialisation.".

Cet événement m'a beaucoup ébranlée. Et je me dis plus tard que Miguel s'y était très bien pris : Je n'ai ressenti que de la joie.
Miguel par sa matérialisation, m'avait catapultée vers l'espoir." écrit en 1995

Cela ne s'est pas reproduit... comme cela en tous cas...Mais j'ai eu d'autres phénomènes et beaucoup de message en transcommunication...



Le Père Brune dans son best seller "Les morts nous parlent" retrace des témoignanges de matèrialisations encore bien plus fortes et repétées, même si elles cessent un jour...Fort heureusement d'ailleurs (pour les deux parties).

Le 26 septembre 2009 je complète cet article avec une phrase (que l'on m'avait envoyée et à laquelle je n'avais pas pensé sur le moment) afin de mettre l'église devant ses propres contradictions :

" Quiconque ne croit pas en la parole de l'Ecriture,
ne croira pas non plus quelqu'un qui reviendrait de l'Au-delà. »
Le pape Benoît XVI ( Joseph Ratzinger )
Extrait de son ouvrage : " Jésus de Nazareth ", aux éditions : Flammarion

Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit


LIEN PRECEDENT : http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2008/11/1-le-coeur-dune-mre-le-paranormal-3.html


Liens suivants : http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2011/09/1-limportant-cest-daimer.html


http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2010/11/1-morts-cette-vie-vivants-dans-lau-dela.html

samedi 19 septembre 2009

4. Flamenco !



envoyé par paytojeres


J'adore trop Moraito chico !
Précision : Ce Guitariste nommé Moraito
n'est pas la même personne
dont je parle dans :
http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2008/05/4-je-tenvois.html






Envoyé par uffesteenberg


Estrella Morente Carbonell mieux connue sous le nom de Estrella Morente née en 1980 est une chanteuse de flamenco issue de la famille gitane Morente, originaire de Granada. Elle est mariée avec le matador de toros de Malaga Javier Conde.
Son père, le chanteur Enrique Morente et sa mère la danseuse Aurora Carbonell, lui ont transmis dès l'enfance l'essence du flamenco. À l’âge de huit ans, elle participe à un premier enregistrement, accompagnée à la guitare par Sabicas. Elle collabore ensuite avec son père, chantant sur plusieurs de ses disques.
En 2001 son premier disque personnel est un succès populaire qui lui permet de participer à plusieurs festivals, de la biennale de Séville, au festival de guitare de Barcelone et au festival international de musique et de danse de Grenade.
Elle obtient un disque de platine, pour ce premier enregistrement et un disque d'or pour le second.
Au cinéma, elle participe à la bande son du film Buñuel et la Table du Roi Salomon de Carlos Saura, où elle chante Los Cuatro Muleros, et à celle de Volver, de Pedro Almodóvar où elle prête sa voix à Penélope Cruz, pour l'interprétation de la chanson titre. wikipedia
Son troisième disque sorti en 2006 est un hommage aux grandes voix féminines du flamenco (wikipedia)




Je rajoute ces deux liens comme suite :


Sur Enrique Morente :
http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2010/12/2-flamenco-mon-amour-enrique-morente.html

Sur Moraito chico :

http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2011/08/1-une-etoile-de-plus-dans-le-ciel.html

lundi 14 septembre 2009

3. Au son du djembé..



envoyé par magchop 16



Il avait presque mon âge, et il est parti à son tour il y à un mois... son coeur s'est arrêté.
Mossenzi Icoli avait été mon professeur de danse africaine pendant trois ans et demi.

J'en avait déjà parlé précedement, ainsi que de Meriam, mon ex prof de danse orientale, que je viens de revoir et qui m'a annonçé la nouvelle.


Je ne l'avais pas revu depuis longtemps,
mais que de moments joyeux j'ai vécu pendant ces années!

Je pense qu'il aurait aimé que je parle de lui en musique!





envoyé par alméestudio en lien sur le côté...

Clin d'oeil à Meriam :



envoyé par vivianpf

J'aime beaucoup Salomé!



envoyé par vivianpf


C'est un petit hommage discret ! Bye Bye Mosse!


Comme un Voilier part dans la Lumière du Matin.

Je suis debout au bord de la plage.
Un voilier passe dans la brise du matin
Et part vers l’océan.

Il est la beauté, il est la vie.

Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’horizon.

Quelqu’un à mon côté dit :
« Il est parti. »

Parti ? Vers où ?

Parti de mon regard, c’est tout…

Son mât est toujours aussi haut, sa coque à toujours la force
De porter sa charge humaine. Sa disparition totale de ma vue
Est en moi, pas en lui.

Et juste au moment où quelqu’un près de moi dit :
« Il est parti », il y en est d’autres, qui le voyant poindre
à l’horizon et venir vers eux, s’exclament avec joie :
« Le voilà !… »

C’est cela, la mort.

William Blake


Lien où je parle de cette pèriode :
http://fleurdecorailpassiongitane.blogspot.com/2009/02/6-danser-sur-la-table.html

mardi 8 septembre 2009

1. Message d'Isabelle Lionnet du 3 septembre

bonjour .. mamounette ! cette rencontre était très belle .. et de plus en plus de jeunes "y" parviendront ! il faut toujours "tendre vers le haut" malgré les soucis ... les épreuves ! ces mauvais passages sont des éléments d’avancement .. les souffrances lancinantes éprouvent ... sapent .. mais ne vous laissez pas abattre et continuez ... avec notre aide ... sur le dur chemin qui vous conduira vers la "sortie de secours"et vous échapperez à votre prison inquiète ... à vos ténèbres .. car (bis repetita !)"vous puisez toujours la force positive de l’action dans l’élan de l’espoir .. dans la volonté farouche de l’issue et du mieux" ... et cette issue de secours .. vous l’avez en vous ... et la confiance expulsera tout ce négatif ... et la paix lumineuse fera briller les ombres .... le temps venu ! et .. soyez vrais .... car la vérité est le cadeau d’un coeur pur et beau à l’attente torturante de ceux qui espèrent une réponse !! nettoyez votre coeur de ces brouillards malsains et ouvrez-le aux élans de franchise pure et nette ! en sacrifiant la fierté orgueuilleuse qui pousse à dissimuler ... à tromper ... vous ouvrez votre âme à la pure et éternelle lumière ! que cela soit !haut les coeurs ! le 3 septembre 2009



car "l’épreuve est maître de souffrance .... sans doute ... mais elle est maître d’espoir ... maître de vie .. elle est le creuset où se forge votre élévation !"

Ci-dessus : Vierge au bouquet, Notre Dame de la Garde, Marseille, d'où je reviens aujourd'hui même (Fête de la Nativité de la Sainte Vierge).



Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit




" La bonne mère " Notre Dame de la Garde, Marseille.