mercredi 2 avril 2008

1. Isabelle Lionnet



Juste après les commentaires sur la chanson de Francis Cabrel "La corrida", (pour revoir un sujet il suffit de cliquer sur la flêche en face du Mois) je viens de recevoir par mail, à 16h27, amusant les "coïncidences/sychronicités"....
un message de l'au-delà, je veux dire un message d'une fille à sa mère...
Dont je reparlerais plus en détail ensuite.

.............................Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit


bonjour..mamounette! je sais ta tristesse de ce jour...mais sache que je suis près de toi et que ce sera pour "l'éternité"!tu ne peux partager avec beaucoup de monde....par pudeur...mais nous savons ce que tu vis et nous ne t'en aimons que plus d'être ce que tu es!! vous avez beaucoup de "problèmes" en ces temps difficiles...(de tous ordres!) parce que..encore une fois...la lumière gêne...mais elle finira par tout envahir...alors..tenez bon! nous entendons vos appels au secours...vos supplications...mais nous ne pouvons que vous assurer de notre amour...de notre "guidance"...de notre présence..de notre soutien! confiez vos peurs à Dieu....qui saura que faire...le moment venu! ne vous appesantissez pas sur ceux qui "dévient" sur le plan spirituel et qui se disent tels!!car ce "vide" spirituel se révèlera avec le temps....c'est pour cette raison que nous vous demandons de "surveiller et de raboter" votre ego...au profit du développement spirituel...qui est votre identité profonde!!que cela soit! (message bref...mais "ciblé"!) courage...confiance....nos tant aimés!

haut les coeurs! car :"le plus "grand" d'entre vous est le serviteur de tous !" à méditer??
isabelle
le 2 avril 2008

2 commentaires:

Anonyme a dit…

C'est ici et maintenant que je me devais de poster un article sur la réincarnation.

A la fin je cite les références.

C'est ce texte qui m'a fait démarré, cet échange exceptionnel.
Merci "Fleur" de le poser ici.

Réincarnation.

Le corps physique ,n’est qu’une apparence : comme le vêtement cache le corps, celui-ci voile le corps éthérique ; composés de particules lumineuses très denses pour le premier, subtiles pour le second, ils ne sont pas séparables l’un de l’autre.

Dans la tradition chinoise, c’est le corps éthérique qui anime le corps physique.

La conscience est piégée dans un corps qui l’attire
par les passions, le émotions, les plaisirs et les jouissances,
mais elle est aussi attirée par l’esprit et les valeurs spirituelles.
Elle goûte aux uns et aux autres selon ses désirs et son libre-arbitre.

Dans ses choix, elle éclaire et allège les vibrations de son ROUN ou elle l’alourdit.
(ROUN ou Conscience)

Mais le corps ne dure qu’un temps ;
peu à peu il s’amenuise et ses forces physiques déclinent,
comme celles du soleil qui se couche.
Un vêtement usé est remplacé par un autre ;
un jour, au bout de sa course, il meurt et devient poussière.


Alors ROUN est libre !
Il a quitté la prison où il ne voyait que par deux petites fenêtres
qui ne regardent que d’un seul côté.

Léger, aérien, sans attache, il jouit de sa délivrance comme un ballon que le petit garçon a lâché dans les airs sans le retenir.

Il voyage ; il revient voir ceux qui l’ont aimé, mais il les voit pleurer et eux ne le voient pas ; il veut leur parler, il n’entendent pas, il voit les modifications de « sa maison », le partage de « ses » possessions, il éprouve des sentiments, mais n’ayant plus de pouvoir, il est impuissant.

S’il est sage, il ne reste pas sur la terre et va se « reposer » en paix, selon sa valeur et sa puissance.
L’éther n’a pas de limite.
La conscience ne se modifie pas dans l’éther, elle n’oscille plus entre les plaisirs et le devoir, elle ne cherche ni à grandir ni à acquérir.
Elle se repose.

Un ballon dans l’atmosphère voguant au gré des vents reste le même, mais diminue peu à peu de volume.
A la même image, le ROUN se voit un jour lassé d’être libre et en paix, il se sent si léger qu’il part se fondre dans l’atmosphère et ne revient pas sur terre ;
mais si une attirance, « une impulsion du besoin d’une existence sensible, de sensations vives, de troubles et de passions » le saisit, il se rapproche de la terre.


Pythagore disait.
« Les âmes, dans le ciel, glissent le long des constellations, tombant de celles-ci comme des étincelles, afin d’entrer dans le corps matériel.
Elles tombent d’une planète à l’autre et pleurent dans l’abîme leur patrie perdue. »


En descendant vers la terre, la conscience « jette » un rapide jugement sur son dernier passage ; ravivant a mémoire,
elle voit la vie qu’elle a menée dans ses moindres détails avec la rapidité d’un flash ;
elle apprécie, comprend, décide ce qu’elle va faire cette fois-ci ; alourdir son corps éthérique en le nourrissant de désirs et de passions, ou l’alléger par le devoir, le don de soi et le sacrifice ; elle choisit, le met en mémoire et l’y oublie.

Le petit point vibratoire qu’elle est devenue cherche un couple qui l’accueille.
L’union amoureuse ou brutale émet une vapeur, au moment de l’étreinte, qui se dégage comme une fumée ; elle la prend comme véhicule, si leurs codes génétiques sont en accord avec le sien.
Elle se fond dans cette émanation.

Pendant les neuf mois de cette nouvelle incarnation, la mère se tourne vers la lune, dit la Chine, et façonne un corps physique en le modelant exactement sur le corps éthérique de ce nouvel arrivant.

Elle n’y apporte aucune modification : l’hérédité du bébé s’ajoute à l’hérédité de la famille dans laquelle il rentre.

« Sa » destinée est tracée par la dernière incarnation qui continue dans celle-ci, comme un acteur au théâtre est marquis dans le premier acte, va dans les coulisses et revient comme valet.

Chaque incarnation a pour but de permettre à la conscience de se corriger de ses erreurs en affinant la force de vibration de ses lasers ( ou méridiens). Un ivrogne réincarnera autant de fois qu’il le faudra pour boire à satiété jusqu’au jour où il y mettra fin et se réincarnera avec la ferme résolution d’arrêter cette débauche.

S’il y réussit, ses lasers F ( foie) et VB ( vésicule biliaire) s’éclaireront, ils auront gagné en valeur intérieure.

Un ballon ne peut s’élever vers le ciel que si on le leste des sacs de sable alourdissant la nacelle.



Le vêtement du corps achevé, le bébé veut sortir au grand jour.
Pour entre sur terre, le passage est étroit et il faut se glisser……

A la première seconde, le nouveau-né voit qu’il est à nouveau piégé dans un corps, il ferme les poings et hurle de fureur, tandis que la sage-femme sait voir quel personnage arrive, signes qui s’effacent quand le bébé s’endort.

Lors d’une naissance, la terre rit et le ciel pleure ; lors d’une mort, la terre pleure et le ciel rit.

L’enfant nouveau-né est le vieillard d’hier qui va cheminer sur la route d’aujourd’hui.

Ce vieillard arrive avec un passé lourd dont les parents ignorent tout ; le jeune ne le connaît pas non plus.

La vie est une suite d’incarnations qui s’enchaînent et racontent une longue, longue histoire.
L’incarnation précédente est le produit de toutes les autres, rien ne sert de revenir en arrière, la vie est DEVANT.

A ce texte de Marguerite de Surany, dans Dictionnaire de la médecine taoïste,


j’ajoute un court texte du missionaire-jésuite-sinologue Léon Wieger dans « Les pères du Taoïsmes » :


« L’homme a deux âmes, un double principe de vie, d’abord l’âme issue du blanc (le sperme paternel), principe de la genèse et du développement du fœtus dans le sein maternel.

Plus cette âme tient étroitement au corps, plus le nouvel être est sain et solide.
Après la naissance, l’absorption et la condensation de l’air, produisent la seconde âme, l’âme aérienne, principe du développement ultérieur et surtout de la survivance.

En bref une première âme se forme à l’entrée dans la femme,
l’autre à la sortie au premier souffle de l’enfant.

A la mort la première se disperse dans la terre, la seconde s’envole dans le ciel. »

Bien sur que de ces textes je n’en tire aucun autre commentaire ni jugement puisque je laisse à chacun de parcourir le texte et de ressentir ou pas une vibration.

C’est ce que l’on peut qualifier d’énergie des mots comme des pensées.

Alaxis

Fleur de corail Jeannine Toiron-Vaquié a dit…

Merci Alaxis, tout cela est joliment dit.
C'est à chancun bien sûr, d'avoir son opnion par rapport au concept de réincarnation.
C'est un beau travail que tu déposes là, encore merci.